L'auteur se remémore ses années d'enfant, puis d'adolescente, passées dans une vieille demeure du Téhéran de l'après-guerre à une époque où religion, tolérance et art de vivre s'accordaient encore au rythme oriental des fêtes et des saisons. Un récit au parfum de paradis perdu (couronné en 1996 par le Prix des Lectrices de Elle), que la presse anglo-saxonne salua comme l'œuvre d'un nouveau Tchekhov.