« Meurtres » nous narre l’irrésistible ascension d’une famille modeste – le père est instituteur – dont les enfants deviendront avocat, médecin, prêtre, et dans laquelle se cache une brebis galeuse en la personne de Noël. Ce fils maudit, destiné à observer une trajectoire plus personnelle, commettra l’irréparable, et deviendra la première victime d’un féroce ostracisme familial.
« Mort d’Isabelle », premier volume de cette saga bourgeoise, nous plonge dans l’intimité d’une famille assoiffée de reconnaissance sociale et dépourvue de pitié.