Traduction intégrale à partir des manuscrits originaux arabes par René R. Khawam
(Vers 800)
À la différence de Sindbad le Marin, qui cherchait à gagner la Chine par la voie maritime, son homonyme le Terrien se lance sur la vieille route de la Soie - non moins fertile en embûches et en merveilles – et traverse les solitudes désolées du Ferghana, de la Mongolie et du Sinkiang avant de pousser jusqu'aux rivages du lointain Japon.
Composées dès le VIIIe siècle, ces Aventures sont une invitation au rêve et à la géographie : une bien agréable façon de parcourir le monde sans avoir à souffrir des dangers de l'ailleurs.