« Le lecteur n’oubliera pas de sitôt la lumineuse figure de Veronika à l’innocence écrasée par la brutalité de la guerre. »
Stéphanie Dupays. Le Monde des Livres.
« Continûment servi par une traduction inspirée, le texte aux infinies nuances de Drago Jančar s’élève à ces hauteurs d’où rayonnent les chefs d’œuvre, qui éclairent les convulsions de l’Histoire. »
Jean-Claude Lebrun. L’Humanité.
« Porté par une écriture aux accents lyriques et construit comme un puzzle, le récit capte les mouvements de l'Histoire - l'opposition entre les troupes allemandes et les partisans communistes - sans jamais sacrifier les destins singuliers des personnages. »
Baptiste Liger. L’Express Styles.
« En filigrane, et de manière subtile, ce récit pose la question de la responsabilité de chacun devant l'Histoire. »
Gabrielle Napoli. La Quinzaine littéraire.
« Cette nuit je l’ai vue est un puzzle qui rassemble le crépuscule et l’aurore. Chaque personnage a son timbre unique, ses accentuations différentes. Jančar entend ce qu’il écrit, raison pour laquelle il compte parmi les auteurs les plus marquants d’aujourd’hui. »
Transfuge.
« Il nous livre là un roman magnifique, rédigé d’une plume délicate faisant contraster la dureté de la guerre et une écriture aussi foisonnante que poétique. »
« Les Coups de cœur Payot ». Le Nouvelliste (Suisse).