Ce quatrième et dernier volume, le plus sombre, est placé sous le signe de la désillusion et de la nostalgie. La France de
l’après-Thermidor panse ses blessures, compte ses morts... tandis que sortent de l’ombre les fossoyeurs de l’idéal de 1789 :
ceux que Robespierre appelait « les hommes perdus »...