Préface de Raymond Jean.
Avec une lettre de Léon Trotski.
Tout à la fois histoire d’amour, récit d’aventures apocalyptiques et roman d’anticipation politique, salué par Trotski, apprécié de Lénine et célébré par Anatole France, Le Talon de fer annonçait dès 1908 une dictature d’un genre nouveau.
La narratrice en fuite, fille de bonne famille que rien ne prédisposait à la colère, raconte sa rencontre avec l’homme qui devait devenir son mari, sa disparition, et ce qu’il advint dans un monde « civilisé » de leurs formidables rêves à vouloir changer l’ordre des choses…