Rêvasser… se laisser aller à la fantaisie du voyageur qui choisit entre le chemin tranquille ou le vert d’un pré, être libre de visiter le vaste monde en ne répondant qu’aux seuls caprices de son insouciance, avec pour seul talent une immense aptitude à profiter des choses…
Scènes de la vie d’un propre à rien, simple et déchirant, trompeur et romantique, demeure inexplicablement mé¬connu en France. Ce texte, où la musique est à chaque phrase présente et où vivre comme un « jeune homme sans qualité » demeure la plus grande des richesses, figure pourtant parmi les plus beaux romans de la littérature allemande du dix-neuvième siècle.